Décoration d’intérieur : le mobilier vis-à-vis de la contrefaçon

Lorsqu’il s’agit de maison, la décoration d’intérieur est l’un des termes le plus souvent associés à ce domaine. Il faut savoir que pour le revêtement de la maison, que ce soit intérieur ou extérieur, les meubles design sont toujours d’actualité. Or, depuis bien des lustres, on constate que ce type d’objets possède leur réplique contrefaite.

Les mobiliers d’intérieur

Parmi la décoration d’intérieur, on peut parler des meubles contemporains qui sont de plus en plus en vogue. Pour qu’une demeure puisse dégager un style original, ce type de déco est souvent sollicité. Cependant, il faut savoir que le prix de ce type de mobilier n’est pas toujours à la portée de tous en raison de son coût onéreux, d’où l’apparition de mobiliers contrefaits.

Quand on parle de décoration d’intérieur, une simple touche de meuble peut largement faire la différence. Par exemple, l’utilisation d’un lampadaire ou un canapé. Ce type d’objet peut toutefois coûter très cher. D’ailleurs, un lampadaire de chez Arco est estimé à 1 900 euros. Le canapé Smala de Pascal Mourgue quant à lui peut se vendre à plus de 3 000 euros. Et ce type d’œuvre est grandement victimes de contrefaçon. Il s’agit là d’un fléau qui s’avère incontournable de nos jours.

La contrefaçon

Que ce soit sur internet ou dans quelques boutiques, on peut toujours retrouver les mêmes objets à un prix défiant toute concurrence. Ainsi, pour aménager au mieux leurs intérieurs, il n’est pas étonnant de voir des clients opter pour ces objets aux prix bien alléchants. Il faut savoir que bien évidemment, ce type de mobilier ne sera jamais aussi résistant les originaux, et même au niveau des matières utilisées.

Il a été constaté que les contrefaçons de ce type de mobilier se trouvent en Asie où des usines ne sont destinées qu’à cet effet. Ces meubles sont ensuite vendus sur le marché international pour un prix adapté aux budgets de certains consommateurs.

Comment discerner le faux et le vrai ?

Par contre, il existe différents moyens de reconnaitre les mobiliers contrefaits par rapport aux versions originales afin de ne pas tomber dans le panneau.

Par exemple, pour le lampadaire Arco de 1 900 euros, sa mise à prix est à partir de 200 euros pour une contrefaçon.

 

Sandra Hernandez